Georges Dubois
Épouse : Thérèse Besse
Enfants : Jeanne (née le 19 décembre 1915 à Asnières-sur-Seine, décédée le 6 mai 2003 à Bémécourt)
Général
Naissance : 7 mai 1886 à Pourrain
Mariage : 16 mars 1909 à Asnières-sur-Oise (23 ans)
Décès : 24 octobre 1958 aux Clayes-sous-Bois (72 ans)
Profession : employé de commerce, commis greffier
Prénoms : François (son père s’appelait déjà François donc il fallait l’appeler autrement, mais on ne sait pas pourquoi on l'appelait Georges)
Histoire
Il est d’une grande force physique, il fait du rugby et n’hésite pas à se bagarrer. Son neveu Henry-Louis, avec qui il s’entendait beaucoup, lui qui n’a pas de fils, racontait qu’il intervenait pour défendre des gens faibles. Pendant la guerre, il devient officier.
Jeanne a été très proche de son cousin Henry-Louis Baratin. Elle a eu des enfants, et elle est à l’origine d’une branche de cousins qui nous ont contacté et donné beaucoup d’informations et de photos sur les Dubois.
Voici ce qu'en dit Françoise Verdier, sa petite-fille :
Et puis j’ai pensé à ma tante Thérèse qui se vantait de faire faire tout ce qu’elle voulait à son mari en lui présentant les choses de telle ou telle façon.
(il a les yeux bleus)
Mon grand père François Dubois a 18 ans en 1904 l'année du 2° mariage de son père.
Il s'engage volontaire.
Il obtient un diplôme de gymnastique à Joinville en 1905.
Il était très sportif et j'ai retrouvé de nombreuses de médailles d'athlétisme, rugby, tir.
Après la guerre ma grand-mère pratiquait avec lui tennis (médaille en 1925 et 1928), hockey sur gazon.
Il n'a jamais parlé de la guerre de 14. Il a pourtant eu la Légion d'honneur avec Croix de guerre et 3 citations.
Son registre matricule indique une grande taille pour l'époque : 1,75 m. Il a les yeux bleux et les cheveux chatains.
Mes grands parents ont acheté la maison des Clayes en 1939/40.
La période de guerre a été difficile. Les Clayes étaient un village et leur maison éloignée du centre.
Ma grand mère très parisienne a du s'y ennuyer.
Je me fais un cinéma en pensant qu'ils sont allés à Toucy (c'est un nom que j'ai dans ma mémoire ainsi que celui des Terrain) pendant l'exode.
Je ne les ai connu que comme des grands parents adorables. J'ai passé beaucoup de vacances scolaires chez eux.
J'ai beaucoup joué aux cartes avec Grand-Papa, ma grand mère en avait horreur.
J'ai dû garder cet attrait des cartes pour jouer au bridge sérieusement.
Je pense l'avoir toujours connu avec sa barbe blanche.
Il a été adjoint au Maire des Clayes de 1953 à 1959.
Divers
Henry-Louis, le neveu de François, fait allusion à eux dans une lettre :
Il est décrit, enfant, dans l'autobiographie romancée de Joseph Dalby.